Patrimoine, Monuments et  Edifices d'Outreau.

La ferme Fayeulle à La Salle hameau d'Outreau. Vers 1850- cette ferme "caractérisée" par l'architecture de ses deux porches d'entrées- fut exploitée par les famille Chivet puis Fayeulle  et Delattre-Fayeulle et leur fils Paul Delattre.

Christian Fayeulle était l’arrière grand-père de Monsieur Paul Delattre dernier exploitant. Vers le début du 20ème siècle Christian Fayeulle occupait la ferme...Ses deux fils Louis et Jules lui succédèrent. La fille de Jules Fayeulle se maria avec monsieur Delattre et en 1954 leur fils Paul Delattre reprit à son tour l’exploitation et cessèrent leurs activité en1996 ; la ville d’Outreau exerça le droit de préemption et les bâtiments servent d’entrepôt et de locaux pour les serres et services techniques. 

Rare carte postale toilée et colorisée de la ferme Fayeulle à La Salle hameau d'Outreau.

Photo de l’intérieur de l’’église Saint-Wandrille à Outreau.

Photo de l’autel de l’’église Saint-Wandrille à Outreau.

Capécure ancien quartier d'Outreau. L’Eglise  Saint Vincent de Paul de Capécure dépendait d’Outreau jusqu’ en 1835 année où il « intégra » la commune de Boulogne ; l'église détruite durant la seconde Guerre mondiale, elle est reconstruite 500 mètres à côté dans les années 1950.

Photo de l'église Saint-Vincent-De Paul à Boulogne-Sur-Mer

Carte postale de la nouvelle église Saint Vincent de Paul  à Capécure, reconstruite en 1950.

En bas à droite de la carte postale : l'église  Saint -Vincent- de- Paul de Capécure qui ne dépend plus d'Outreau depuis 1835.

La tonnellerie du marais  à Outreau ; les tonneliers étaient la famille Liagre-Legrand et Litanneur  et vers 1911 la famille Trenaux ( parfois inscrit Traineaux..)

André Auguste Trenaux est né  le 13 février 1866  à Le Portel ( fils de Auguste TRENAUX maître tonnelier,  1825-1887  et Marie Madeleine GERME 1824-1900 marié Outreau. André Auguste Trenaux se marie   le 27 août 1891, Boulogne-sur-Mer,  avec Adolphine Berthe LITANEUR née 1869 et décédée en 1954. Leur deux premiers enfants naissent à Boulogne-sur mer en 1992 et 1894, on retrouve ensuite le couple Trénaux-Letanneur  sur Outreau ; André Auguste est maître tonnelier à la naissance de leur 3ème enfant en 1896 ; le couple est toujours sur Outreau en 1902 où né le 4èm enfant. André Auguste Ternaux décède le 19 octobre 1938 à Outreau dans sa demeure au 159 rue Jean Jaurès.

La famille Trenaux parfois écrit Traineaux  était tonnelier depuis 1840 environ sur la commune du Portel et ensuite   la commune d'Outreau ; dans l'acte de mariage du 22 janvier 1846 (à Le Portel encore commune d' Outreau) de Auguste TRENAUX 1825-1887 marié avec  Marie Madeleine il était tonnelier à cette époque le nom était écrit Trainaux puis par la suite ce sera Trénaux...

L’ entrée du manoir du Noirval Propriété de la famille DESTREE du Noirval, juges de paix le père ainsi que le fils ; et Henri-Emile Sauvage puis après la seconde guerre mondiale  ancienne entrée de l’école «  des Bleus » après la seconde guerre mondiale 

Connaissance de la famille DESTREE du NOIRVAL inscrit parfois aussi DESTREES du NOIRVAL

Destrée Louis Pierre Victor juge de paix du canton de Samer est né à Outreau  le 18 janvier 1790,  décédé le 10 avril 1872 à l’âge de 82 ans(  il était le fils de Louis Victor Destrée juge de paix du canton de Condette ( né 18 janvier 1790 à Condette et décédé le 31 août 1831 à Outreau ) (lien : http://archivesenligne.pasdecalais.fr/v2/ark:/64297/b6e36b9a6509e812848d70a535be4017 ) et de  Marie Francoise WARNIER DU WICQ) née 7 mars 1862  Offrethun  lien (http://archivesenligne.pasdecalais.fr/v2/ark:/64297/c46a7782aa008e677cd3ef050a7cd398) décédée 18 juillet 1806 lien  http://archivesenligne.pasdecalais.fr/v2/ark:/64297/616419137da4e39b1514542b741753c5  ; Destrée Louis Pierre Victor s'est marié à Marie Henriette L’HOTELLIER née à Isques le 22 septembre 1795 et décédé à Outreau en sa demeure du Noirval le 6 août 1879 à l’âge de 84 ans  déclaré par son gendre DELAUNNAY habitant à Blendecques et âgé de 65 ans .Dans un de décès du 17 janvier 1865 de Marie Barbe DESTREE  célibataire 77 ans née à Outreau c'est inscrit fille de Louis Victor Destrée Marie Françoise WARNIER DU WICQ soeur de Destrée Louis Pierre Victor juge de paix du canton de Samer.

 Marie Henriette Sophie Destrée est née le 12 septembre 1819 à Outreau et décédée le 6 avril 1886 à Boulogne-sur-Mer,62200 à l'âge de 66 ans ; fille de Destrée Louis Pierre Victor né le 18 janvier 1790 à Outreau et  Décédé le 10 avril 1872 à Outreau  et Henriette L’HOTELLIER née le 22 septembre 1795 à Isques, et décédée  le 6 août 1879 à Outreau. Marie Henriette Sophie Destrée se marie le 26 mai 1841, avec Henri Cesar Prosper SAUVAGE notaire  1812-1858. De leur union est né Louis Cesar Henry Emile SAUVAGE  né le 22 septembre 1842 décédé le 3 janvier 1917 à Boulogne-sur-Mer,62200 à l'âge de 74 ans ; archeologue, docteur en médecine marié le 22 février 1870, Boulogne-sur Mer,  avec Aline Elise Marie Albertine LEPERS 1850-1873 dont  Gabrielle Aline Elise SAUVAGE 

Autre source et informations de M. Contensou :

 "Mes propres recherches montrent que le château du Noirval a été la propriété de Henri-Emile Sauvage (1842-1917), fils du notaire César Sauvage (1812-1858), frère de Louise Eléonore Amélie Marie Sauvage (Madame Hibon) et conservateur du musée de Boulogne.

En 1921, son aînée, Madame Gustave Gras, née Gabrielle Elise Aline Sauvage et issue de son premier mariage, acquiert la propriété du Noirval, alors valorisée à 50 000 francs. Ayant occupé le Noirval pendant 3 mois en 1920, elle doit à la succession de son père un loyer de 150 francs. Madame Delabie, de Boulogne était locataire du château.

Ma source est l'acte notarié de liquidation de la succession du Dr Sauvage, daté du 15/07/1921 chez Maître Pagniez à Boulogne.

Tableau de Arsène Tchakarian : "la place d'Outreau et  l'ancienne mairie dans les années 1975-1980".

La statue " Le Regret" en miniature sur la table de la salle à manger de la grande demeure de la famille Cazin à Equihen, représente la statue sculptée par Marie Cazin à Outreau où sont enterrées les familles Adam -Perrochaud Cazin Henri frère de Charles ; le professeur Clerc ect...Dans le cimetière d'Outreau.

Photo de  l'ancienne place Jean Jaurès ( ou fut construit l'I.U.F.M. qui a ouvert ses portes le 14 Octobre 1994. c'était la section "boules lyonnaises" de l'Amicale Paul Bert Outreau, il y avait plusieurs terrains de compétition et une section importante de joueurs.

Toujours sur l'ancienne place Jean Jaurès, sur  la façade du bâtiment le dessin d'un  sportif, un joueur de boules, qui avait était façonné  en fer forgé.     

https://sites.google.com/site/outreau2/momuments%2Cedifies%2Cpatrimoines

L'intérieur du foyer des Anciens où ils venaient manger et participer à des activités

Il y a dans les cimetière d'Outreau une sépulture au nom de Ismaël BACLEZ "recensé" dans les Monuments historiques et bâtiments protégé d'Outreau  Ismaël Isidore BACLEZ est né le 19 janvier 1851 à Ambleteuse, 62025, fils de Louis Joseph Ismaël Baclez domestique- comme indiqué dans son acte de naissance et de Joséphine Antoinette Seguin ;  puis employé de minière comme indiqué dans l'acte de mariage de Ismaël Baclez.. on retrouve les même informations dans l'acte de naissance de sa sœur Joséphine Philippine né à Ambleteuse le 2 août 1848 ( Mariée le 30 septembre 1868, à Outreau avec Célestin Pierre CONDETTE et décédée à Equihen hameau d'Outreau le 1er mai 1934 ). Photo Pascal BERNARD du Monument de Ismaël BACLEZ

Baclez Ismaël.jpg

Ismaël Baclez se marie avec Caroline François le 26 septembre 1874 à Outreau ; dans l'acte de mariage c'est inscrit Caroline François, lors des naissances des enfants du couple Baclez-François, le nom deviendra Lefrançois comme inscrit sur la sépulture mais restera François sur les divers actes retrouvés ( rectifiés François au lieu de Lefrançois par jugements ; Caroline François ( Lefrancois) est née le 15 décembre 1854 à Manihen hameau d'Outreau déclarée le 16 décembre 1854 (acte n°144) fille de Louis Marie François 40 ans propriétaire et Elisa Davault de Tihen 38 ans. Elisa Davault de Tihen  (née le 10 mars 1816 à Outreau, déclarée le 11 (acte n°19) est la fille de Pierre Marie Davault (importante famille de propriétaires et cultivateurs d'Outreau) et de Marie Jeanne Florentine BECART. L'arrière grand-père de Elisa Davault la mère  de Caroline Francois était Louis Marie DAVAULT né vers 1667 et décédé le 18 octobre 1750 à Outreau, seigneur du Tihen et de Manihen.

BACLEZinstituteur d'Outreau marié à Caroline LEFRANCOIS

De l'union de Ismaël Baclez (instituteur) et Caroline François trois enfants ont été" retrouvés" : Caroline Joséphine Elisa Baclez née à Audresselles le 21 juin 1875. Anatole Elie Baclez né le 24 mars 1877 à Carly (déclaré le 25 acte n°4). Ismaël Baclez est instituteur. Ida Marguerite Baclez née le 4 octobre 1885 à Boulogne-Sur-Mer ( déclarée le 5 acte n° 1028) ; Ismaël Baclez est directeur d'école.

Photo : Médaillon en bronze du portrait de Ismaël Baclez. offert par ses anciens élèves.

Baclez instituteur d'Outreau

Après avoir commencé sa carrière d'instituteur public à Audresselles, à Carly, on le retrouve directeur à Boulogne-Sur-Mer, Ismaël Baclez décède rue de la Providence  à Boulogne-Sur-Mer le 11 janvier 1900 à l'âge de 49 ans ; il était en retraite, il était officier d'académie ; son épouse Caroline François ( inscrit Lefrançois sur la sépulture à Outreau) décèdera également à Boulogne-Sur-Mer le 8 janvier 1947.

1) Caroline Baclez est née à Audresselles le 21 juin 1875 elle se marie avec Auguste Anquez le 6 août 1900 à Boulogne-Sur-Mer où elle réside au 9 bis rue de la Providence avec sa mère Caroline François veuve de Ismaël Baclez . Auguste Anquez réside à Outreau, il est employé de commerce ; il est né le 24 juin 1872 à Hesdin l'Abbé, fils de Jean Baptiste Anquez employé d'usine âgé de 56 ans et de Ambroise Bomi 45 ans.  Caroline Baclez, épouse Anquez, était institutrice, en 1912 elle est citée dans les mentions honorables elle est directrice d'école maternelle au Portel puis à Boulogne-sur-Mer, elle est citée dans le journal officiel dans les remises de diplômes (année 49 N°22) dans les lois et décrets du 18 août 1917.  Elle exercera durant 34 ans ( source : journal officiel du 28 novembre 1931).

Carte  postale d'Audresselles en 1916, village où est née Caroline Baclez.

2) Anatole Elie Baclez né le 24 mars 1877 à Carly, instituteur, à 24 ans il se marie à Boulogne-Sur-Mer ( où il réside place Saint-Pierre) le 15 novembre 1901 avec Hortense Ansel née le 24 juin 1868 à Thiembronne 62.560 fille de François Ansel (72ans) et de Marie Modestine Tellier(70 ans) demeurant à Thiembronne ; Hortense Ansel est institutrice et réside à Audinghem, elle est âgée de 33 ans.     

 Carte postale du village de Thiembronne début 1900.

thiembronne la place.jpg

On retrouve en 1908 Anatole Baclez instituteur à Outreau témoin du mariage de sa sœur Ida Baclez avec Raoul Lamoril.

Photo du côté du monument de Ismaël Baclez cimetière d'Outreau, mentionnant Hortense Ansel -épouse de Anatole Baclez- directrice d'école maternelle née 1868 et décédé 1929. Hortense Baclez ( née Ansel) est citée dans le journal officiel du 12 septembre 1922; " Ministère du travail. Vue l'avis émis par la commission de la caisse nationale de retraites pour la vieillesse dans sa séance du 27 juin 1922" . Mention Honorable et médaille de bronze à Madame Hortense Baclez ( née Ansel) institutrice au Portel. Hortense  Baclez ( née Ansel) fut donc en retraite en 1922, elle finit sa carrière au Portel, Pas-de-Calais. Elle décède le 23 janvier 1929 à Boulogne-sur-Mer.

Baclez Anatole et Hortense Ansel sépulture d'Outreau

Anatole Baclez officier d'Académie et titulaire de la Croix de guerre, veuf de Hortense Ansel décédée le 23 janvier 1929 à Boulogne-sur-Mer, se remarie à Boulogne-Sur-Mer le 22 février 1935 avec Isabelle Catherine Delpierre née le 22 octobre 1898 à Boulogne-Sur-Mer ( déclarée le 24 acte n°1181) fille de Pierre Jacques Delpierre et Marie Caplain. Mariée le 27 novembre 1922 à Outreau avec Jean Lebrun-(3 E 703) Outreau Tables décennales 1792-1932) et  (transmit dans l'acte de naissance) ; puis remariée le 4 janvier 1930 à Boulogne-sur-Mer avec Henri Eugène Bouchez (né le 17 avril 1905 à Boulogne-sur-Mer)  divorcés le 17 février 1933...Elle décède le 17 février 1968 à La Capelle.

Carte  postale au début des années 1900 de Carly où est né Anatole Baclez.

https://sites.google.com/site/sitedepascalbernarddoutreau/

3) Ida Marguerite Adèle Baclez est née le 4 octobre 1885 au n° 28 rue Charles Butor à Boulogne-sur-Mer, déclarée le 5, son père Ismaël Baclez est directeur d'école à Boulogne-Sur-Mer, sa mère Caroline François, le nom de famille de la mère est inscrit Lefrançois et sera rectifié-après jugement au tribunal pour devenir François le 22 mars 1900... A la déclaration de la naissance de Ida Baclez les témoins sont Jules Duflos 32 ans instituteur et Saturnin Dozinel 27 ans également instituteur et ils résident à Boulogne-Sur-Mer. Ida Marguerite Adèle Baclez est institutrice et se marie le 17 août 1908 à Boulogne-Sur-Mer avec Raoul LAMORIL ingénieur des arts et métiers, né le 17 novembre de 1886 fils de Auguste Lamoril directeur de l'école pratique de commerce de Boulogne-Sur-Mer et de Eugénie BUCHARD.   

Photo d'un côté de la Sépulture de la famille Ismaël Baclez- François où sont enterrés son gendre Raoul Lamoril et son petit fils Michel Lamoril. 

Lamoril-Baclez sépulture Ismaël Baclez à Outreau

De l'union de Ida Baclez et Raoul Lamoril né Michel Lamoril le 7 septembre 1909, au N° 50 rue Camille Desmoulins à  Hellemmes-Lille. Il décèdera le 21 décembre 1910 à la même adresse...

La mairie de Hellemmes-Lille ville où est né Michel Lamoril6Baclez

Carte postale de la mairie de Hellemmes -Lille où vécurent Raoul Lamoril et Ida Baclez en 1909.


Raoul Lamoril obtient sa Promotion à Lille en 1909 à l'école des Arts et Métiers. Il devient ingénieur en chef aux ateliers de Blanc Misseron ( construction de locomotives) à la frontière Belge. Photo d'une sortie d'usine au début 1900 à Lille Hellemmes.

Hellemmes Les Lille où vécurent Raoul Lamoril et Ida Baclez en 1909. vue sur l' usine

Mobilisé durant la première guerre mondiale, Raoul Lamoril est sergent au 208ème Régiment d'Infanterie, il est fait prisonnier en 1915. Il décède le 8 juillet 1918 à l'âge de 31ans de maladie contractée durant sa captivité, une péritonite, à l'hôpital Cantonal de Interlaken en Suisse. Transcrit à Boulogne-Sur-Mer le 28 février 1922 avec mention Mort Pour La France, ville où il résidait.

L 'usine de Blanc Misseron où travaillait comme ingénieur en chef Raoul Lamoril  de 1910 jusqu'à sa mobilisation...Cartes postales archives Pascal Bernard.

Lamoril Raoul ingénieur à  l'usine de Blanc Misserron de 1910 jusqu'à sa mobilisation

Après sa promotion obtenue à Lille en 1909  à l'école des Arts et Métiers,Raoul Lamoril devient ingénieur en chef aux ateliers de Blanc Misseron ( construction de locomotives) à la frontière Belge. Ida Baclez décède le 24 juillet 1965 à l'hôpital Saint Louis de Boulogne-Sur-Mer, elle habitait 153 rue du Mont Neuf à Outreau ; elle était veuve de Raoul Lamoril mort pour la France le 8 juillet 1918 à Interlaken  en Suisse.

La Croix Madame. Le Calvaire de la Croix Madame à Outreau est situé Boulevard Raymond  Splingard juste avant l'angle avec la rue Saint-Michel. Au siècle dernier c'était la voie d’Outreau à Equihen et il n'y avait que des champs et pâtures. La Croix Madame était dans les années 1860 une simple croix en pierre sur le terrain de la famille Dupont propriétaire.

Calvaire de la Croix Madame

Dans son rapport du 8 octobre 1862 le curé d'Outreau Jules Létendart parle de 9000 personnes présentes à la cérémonie de la bénédiction de la Croix Madame sur la voie d'Outreau à Equihen...

La famille Dupont à La Salle hameau d'Outreau  était agriculteur et propriétaire. Louis Jules Dupont est né le 1er Octobre 1813 à Outreau fils de Pierre Dupont et de Marie Antoinette Dupont, il est décédé le 7 août 1878 à l'âge de 65 ans, il était célibataire, les déclarants sont son frère Jean Pierre Dupont 70 ans propriétaire domicilié à Bonningues, et son neveu Léon Boutroy cultivateur demeurant à Escalles.  Sa sœur Marie Louise Joséphine Dupont  est née le 9 mai 1819 à Outreau et est décédée à Outreau le 26 octobre 1891; elle était célibataire comme son frère, rentière et propriétaire, les déclarants sont Victor Boutroy et Léon Boutroy, ses neveux.

Leurs parents étaient Pierre Joachim DUPONT né le 2 mars 1781 à Coquelles 62239, décédé le 28 mai 1859 à Outreau à l’âge de 78 ans (acte N°14) fils de Pierre Joachim Dupont et de Marie Louise Quenet, et Marie Antoinette Dupont née à  Audembert 62052 Pas de Calais le 8 février 1779 elle est décédée avant 1859 (Pierre Joachim était veuf comme mentionné dans son acte de décès) elle était la fille de Jean Dupont et Marie Madeleine Lecat. Ils sont mariés à Audembert le 9 juin 1807 à Audembert. (page 625 des archives en ligne de la commune d'Audembert cote 5 MIR052/2)  Juste après leur mariage le couple Pierre Joachim DUPONT et Marie Antoinette Dupont s'installe à Outreau  où est né leur premier enfant Jules César DUPONT le 5 novembre 1809.

Carte postale de Coquelles au début du 20ème siècle.

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Coquelles et son moulin carte postale au début du 20ème siècle. Moulin qui datait de 1813

Le moulin de Coquelles

Il existe quelques cartes postales éditées au début 1900 et qui indiquent " Le Calvaire de la Croix Madame au Portel" ; il s'agit d'une erreur la Croix Madame a bien été édifiée à Outreau à La Salle sur la propriété de la famille Dupont cultivateur et propriétaire qui vécurent ensuite de leur bien ; rentier et rentière comme indiqué dans les acte de décès...

Les archives du diocèse d’Arras conservent une lettre de l’abbé Létendard, curé d’Outreau qui sollicite de Monseigneur l’érection d’un Calvaire destiné à remplacer une petite croix en pierre :

«Le 8 octobre 1862. Procès verbal de la bénédiction solennelle  d’une croix."

Je soussigné Jules Létendard curé de la paroisse d’Outreau, en vertu des pouvoirs à moi accordés par Monseigneur  Pierre-Louis Parisis, Evêques d’Arras, de Boulogne-sur-Mer et de  Saint Omer, en date du 5 octobre  du présent mois, ai procédé à la bénédiction solennelle d’une croix due à la bonté de la famille Dupont, et érigée sur son terrain, à la place d’une petite  croix en pierre vulgairement appelée « Croix Madame ». Monseigneur voulant favoriser et augmenter la dévotion des habitants de la paroisse d’Outreau doyenne de Samer a daigné sur notre demande accorder à perpétuité quarante jours d’indulgence chaque fois, mais une seule fois le même jour  aux fidèles de l’un et l’autre sexe, qui le dimanche le mercredi ou le vendredi visiteront le Calvaire  nouvellement érigé dans la dite paroisse, pourvu que vraiment repentante de leurs fautes il y récitent dévotement cinq fois le pater et l’ave pour les fins ordinaires de l’église. Sa grandeur a bien voulu encore accorder quarante jours d’indulgence aux nombreux fidèles tant de la paroisse que de toutes les paroisses voisine présentes à la cérémonie (il y avait au moins 9000 personnes). Le sermon a été donné par monsieur l’abbé Denis vicaire de Capécure qui a vivement impressionné  son auditoire pendant une heure.»                                                                    Fait à Outreau et signé Jules Létendart curé d’Outreau

Outreau Calvaire  neige 19.12.2009

Autre carte postale du Calvaire de la Croix Madame à Outreau postée au début des années 1900.

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Photo du Calvaire avec les dates de bénédiction du 5 Octobre 1862 et de restauration le 15 août 1950  de la voie d'Outreau

Dans son livre paru en 2009 "Des saisons bord de mer page "François Maspero" raconte une des sorties quand il passait ses vacances chez le professeur Clerc, son grand père maternel, quelques années avant la seconde guerre mondiale...Il parle d'un calvaire c'est celui de la Croix Madame.

" La promenade qu’il fait le plus souvent avec ses cousins, accompagnés d’une grande personne , c’est sur la route qui passe devant la maison et mène au village de pêcheurs (L'auteur  parle d'Equihen). Ils ne vont pas loin. Ils emportent le goûter et s’installent sur un petit tertre au pied d’un grand calvaire, face aux prés qui s’étend jusqu’à la mer. Mais de là on ne l’aperçoit pas. Seuls  sont visibles les champs de blé et les ondulations vertes et rases où errent des moutons. On les appelle des moutons de pré-salé, parce que, lui a t’-on dit, le vent du large sale l’herbe et donne un goût particulier à leur viande. Le calvaire est hideux : un christ peint en jaune y est condamné à la crucifixion perpétuelle et à la rouille. Un serpent verdâtre s’enroule autour du pied de la croix d’un brun sinistre.Chaque été, à la fête de l’assomption, quand on sort la statue de la Vierge pour la promener en chantant des Ave Maria, la procession va jusqu’au calvaire. Au village de pêcheurs , il ne va jamais. Cela reste une contrée lointaine."

Un serpent s’enroulait autour du pied de la croix Madame comme on le voit sur une ancienne carte postale, durant la seconde guerre mondiale la croix avait été brisée au pied, le Calvaire  il fut donc "reconstruit "ensuite....Un morceau du socle avec le serpent se trouve au centre Jacques Brel...

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Lors de la restauration du Calvaire de la Croix Madame d'Outreau en 1950, le serpent posé sur le socle, qui "s'enroule"  au pied du Calvaire, a été remplacé par un petit muret de pierres formant un cercle. Le socle original avec le serpent se trouve au Centre Jacques Brel d'Outreau..

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Photo du mois d'août 1950 de la Procession route d’Equihen (actuelle rue Pantigny) ; le cortège se rend à la Salle pour la bénédiction du Calvaire (dit " La Croix Madame") après la restauration du Calvaire. Photo Archive de José Gambart.

La tempête de janvier 1990 avait elle aussi causé d'importants dégâts, il fut rénové et réinstallé par les services municipaux de la ville d'Outreau.

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l'église Saint Wandrille d'Outreau carte postale colorisée au début des années 1900.

Outreau l'Eglise carte postale colorée

l'église Saint Wandrille d'Outreau

L'entrée d'Outreau par la Verte Voie carte postale vers 1920

Photo de la première grande braderie annuelle d'Outreau qui fut créée en 1979

La Tour du château de Jules Lonquety qui servait aussi de château d'eau  construite vers 1886. L'ancien kiosque à musique construit vers 1970 sur le blockhaus qui fut ensuite détruit par dynamitage en février 1991; et le C.E.S Albert Camus d'Outreau inauguré en 1965.

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La petite place Jean Jaurès ( actuel IUFM ) vue sur les logements de fonctions de l'écoles Jean Jaurès ; sur la gauche il y avait le baraquement qui a servi de foyer aux personnes âgées et de cantine provisoire pour les écoliers. Toujours sur la gauche le bâtiment avec une " figure" qui était réalisée en fer forgée " le club de boules lyonnaises de l'A.P.B.O. Merci à Joël pour l'info ;)

Inauguration du Calvaire à Outreau le dimanche 15 avril 1900, compte rendu de la cérémonie relaté dans l' article du journal La Croix du jeudi 19 avril 1900. " Il est écrit dans l'inventaire des Monuments historiques et bâtiments protégés d'Outreau  que cette croix a été offerte par Jules Lonquety en 1900 en remplacement d'un ancien calvaire." Jules Lonquety est décédé le 29 juin 1897 en sa demeure à Outreau ; en 1900 il n'y avait plus qu'un héritier son fils Maurice né le 13 mars 1859, mariée à Marguerite Catherine Chopinet... Jules Lonquety a fait don d'une partie de ses biens à " l'église..."

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Le Calvaire fut restauré en 1913 par Paul Goeusse, puis en 1943 par son fils Mr Robert Goeusse. Le Calvaire rue Jean Jaurès  ancienne rue du Calvaire)  photo de 1932 lors de l'inauguration des bains douches

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Angle de la rue du Biez et Jean Jaurès, le cortège se dirige au calvaire qui se situe en haut du Mont Neuf ; photo de  1933. On remarque l'entrée des dépendances de la maison de Jules Lonquety,  vendue à MR.Joseph Bourgain, cap-hornier qui le renomma le cap Horn ; Il décéda à l'âge de 51 ans en 1922, son épouse Jeanne Pulchérie MONTIGNY  née le 18 août 1870 au Portel , décédera le le 14 janvier 1962 à Sèvres, Hauts-de-Seine, à l'âge de 91 ans. Cette maison de maître «  appelée aussi château Lonquety » fut racheté par la commune ; endommagé durant la seconde guerre mondiale ( il ne restait plus que la tour)  il fut rasé et fut créé le jardin public

Le tombeau de la famille Fauquembergue-Sauvage dans le cimetière d'Outreau est classé dans l'inventaire général du patrimoine culturel des Monuments et bâtiments historiques d'Outreau.

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 Voici la terrible histoire qui frappa la famille Fauquembergue à Outreau le mercredi 10 juillet 1907, madame Fauquembergue  après envoyé l’aîné de ses 3 enfants Abel à l'école se rendit à l'économat du chemin de fer et laissa sous la surveillance de son mari ses deux autres enfants. C'est alors qu'occupait au jardin Mr Fauquembergue aiguilleur au chemin de fer, entendit deux bruits sourd... C'étaient ses deux enfants qui venaient de chuter de 8 mètres de leur chambre, rue du Mont Neuf. Robert Fauquembergue âgé de 6 ans et 9 mois mourut sur le coup à 11H00 comme indiqué sur l'acte de décès. Maurice Fauquembergue âgé de quatre ans décéda à 12h30 comme indiqué sur l'acte de décès.

Article du journal l'Impartial de juillet 1907 relatant le drame de la famille Fauquembergue rue du Mont Neuf à Outreau.

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Sépulture à Outreau de la famille Fauquembergue-Sauvage, réalisée par Achille Blot (sculpteur).

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Le jeudi 21 novembre 1907, tandis que Mr Fauquembergue se recueillait sur la tombe de ses deux enfants décédés tragiquement le 10 juillet 1907, son épouse "qui avait perdu la tête", pendit leur fils Abel âgé de 8 ans puis après avoir tué le chien, elle se suicida. C'est en rentrant du cimetière que Mr Fauquembergue découvrit l'horrible drame comme le relate l'Impartial du 22 novembre1907. L'acte du décès de madame Fauquembergue née Sauvage âgée de 41 ans  fut dressé le 22 novembre 1907 (acte n°80). Celui de son fils Abel 8 ans fut dressé le 23 novembre 1907 acte n°81

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  Trois ans après, Monsieur Fauquembergue qui avait vu disparaître toute sa famille dans de terribles circonstances et suite à un courrier qui le révoquait de ses fonctions aux chemins de fer, se suicida le 20 octobre 1910 en adressant une lettre à ses proches comme quoi il ne supportait pas sa révocation. Le rapport de police mentionne " qu'à 11h00 du soir Mr Edouard Fauquembergue a été retrouvé mort à son domicile 39 rue des Vieillards à Boulogne-Sur-Mer, après avoir calfeutré les fenêtres et débranché le  tuyau du poêle dans lequel il avait mis du charbon de bois". L'acte de décès fut  rédigé lendemain à la mairie de Boulogne -Sur-Mer.

Les noms de la famille Fauquembergue-Sauvage gravés sur la sépulture. 

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Plaque d'inscription en bas du monument: Edouard Fauquembergue 1874-1910. Il est décédé le 20 octobre 1910 à 11h00 du soir 39 rue des vieillards ; acte n°654 du 21 octobre 1910. Il est né le 22 mars 1874 à Boulogne-Sur-Mer.

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La ferme Fayeulle à La Salle hameau d'Outreau. Vers 1850- cette ferme "caractérisée" par l'architecture de ses deux porches d'entrées- fut exploitée par les famille Chivet puis Fayeulle  et Delattre-Fayeulle et leur fils Paul Delattre.

Christian Fayeulle était l’arrière grand-père de Monsieur Paul Delattre dernier exploitant. Vers le début du 20ème siècle Christian Fayeulle occupait la ferme...Ses deux fils Louis et Jules lui succédèrent. La fille de Jules Fayeulle se maria avec monsieur Delattre et en 1954 leur fils Paul Delattre reprit à son tour l’exploitation et cessèrent leurs activité en1996 ; la ville d’Outreau exerça le droit de préemption et les bâtiments servent d’entrepôt et de locaux pour les serres et services techniques. Photo de la famille FAYELLE au début du 20ème siècle.   

Louis Fayeulle le frère de Jules était propriétaire et exploitant de la ferme rue Pantigny, route d'Equihen à l'époque. Cette ferme était devenue " l'Aumônerie" elle appartient maintenant elle aussi devenue la propriété de la commune d'Outreau...Carte postale de la ferme de la Salle exploitée par la famille Fayeulle Vue sur l'intérieur de la ferme et quelques bâtiments

Vue sur les deux entrées de la ferme Fayeulle au hameau de la Salle à Outreau

La deuxième entrée dont l'architecture est semblable à l'entrée principale, et vue sur l'habitation de la ferme. Témoignage de Mr et Mme Paul Delattre : "Le 8 septembre 1943 lors des bombardements aériens sur Le Portel et alentours, vers 16H30 plusieurs bombes frappèrent les prairies près de la ferme tuant une grande partie du bétail qui s'y trouvait ; quelques heures plus tard vers 20H30 une nouvelle attaque eut lieu continuant de raser Le Portel et c'est ce soir là que la ferme fut détruite.." .C'est en entendant le bruit des avions qui arrivaient que Mme Delattre née Fayeulle, la mère de Mr Paul Delattre, qui se trouvait dans la cour, cria " tout le monde à l'abri à la cave" ; ce qui sauva la vie à toute la famille ainsi que des voisins venus s'abriter...

Voir Les bombardements de septembre 1943 au Portel

C'est vers 1954 que la ferme fut reconstruite au même endroit et toujours exploitée par Mr et Mme Paul Delattre jusqu'à leur retraite. Cette ferme appartenait à la famille Sauvage Boudrois, acquise par la commune en 1996.

Photo aérienne de l'ancienne ferme Delattre devenue les serres municipales

Au début du 20ème siècle l'ancienne mairie et le bureau d'octroi se trouvaient rue de l'Egalité cette rue porte toujours le même nom Sur la photo de l'ancienne mairie rue de l'Egalité quelques renseignements sur les personnes photographiées, sur la droite de la photo (le premier homme à gauche le garde champêtre de cette époque Monsieur Etienne JUSTIN, la jeune dame assise sur le muret sa fille Alida JUSTIN secrétaire.

 Tableau représentant la Tour du château de Jules Lonquety  qui servait aussi de château d'eau fut construite vers 1886. Le château fut  construit vers 1860  et photo des années 1970   représentant la Tour du château de Jules 

 Ferme de Monsieur et Madame DUMONT à Outreau à La Salle La ferme, présentée  sur la photo de Nord-Matin du 31 janvier 1947,  était située au 121 de la rue Saint-Michel à Outreau à la Salle est appartenait à la famille DUMONT.  Entre le préfabriqué et l’étable, une « voyette » permettait d’accéder sur l’arrière, à une demie lune.

L'église de Manihen, La chapelle du Sacré Cœur, reçut la bénédiction solennelle le samedi 4 décembre 1937.

Connaissance de Marie CAZIN ( née Guillet ) peintre et sculpteur

La Pleureuse à Outreau œuvre sculptée entre 1880-1900 par Marie CAZIN ( née Marie GUILLET décédée à Equihen-Plage en 1924 ) marié avec le  peintre Charles CAZIN. Marie Cazin épouse du peintre Jean-Charles CAZIN, Marie GUILLET de son nom de jeune fille, est née le 19 septembre 1844 à Paimboeuf, commune située dans le département de la Loire Atlantique, fille de Aristide et Clarisse BRAULT. Elle est décédée le 18 mars 1924 à Equihen hameau d’Outreau jusqu’en 1939. Marie GUILLET s'est marié en 1868  avec Jean-Charles Cazin (né à Samer Pas de Calais  en 1840 décédé en 1901 au Lavandou dans le Var). De leur union naîtra  Jean-Marie Michel Cazin (graveur). Il fera un portrait de sa mère intitulée Parmi les souvenirs.

 Ferme de Monsieur et Madame DUMONT à Outreau à La Salle La ferme, présentée  sur la photo de Nord-Matin du 31 janvier 1947,  était située au 121 de la rue Saint-Michel à Outreau à la Salle est appartenait à la famille DUMONT.  Entre le préfabriqué et l’étable, une « voyette » permettait d’accéder sur l’arrière, à une demie lune.

En octobre 1925, la paroisse de Sainte Thérèse venait de naître,  c'est l'abbé Coquelle qui fut   le premier prêtre de cette paroisse. En entendant la construction de l'église, un baraquement en tôle de la première guerre mondiale est récupéré. Dans le fond de ce baraquement un appartement  est aménagé qui sert de logement au curé, une chambre à coucher et un petit bureau. L'église Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus d'Outreau reconstruite après la guerre sur la commune du Portel. Elle se situait entre la ligne du tramway et la rue Hippolyte ADAM au lieu dit l'Avé Maria

 L’ entrée du manoir du Noirval Propriété de la famille DESTREE du Noirval, juges de paix le père ainsi que le fils. Puis vers 1880 propriété de DELABIE capitaine de cavalerie en retraite et ancienne entrée de l’école «  des Bleus » après la seconde guerre mondiale

Connaissance de la famille DESTREE du NOIRVAL inscrit parfois aussi DESTREES du NOIRVAL

Destrée Louis Pierre Victor juge de paix du canton de Samer est né à Outreau en 1790  décédé le 10 avril 1872 à l’âge de 82 ans  il était le fils de Louis Victor Destrée juge de paix du canton de Condette et de  Marie Francoise WARNIER DU WICQ  marié à Marie Henriette L’HOTELLIER née à Isques le 22 septembre 1795 Décédé à Outreau en sa demeure du Noirval le 6 août 1879 à l’âge de 84 ans  déclaré par son gendre DELAUNNAY habitant à Blendecques et âgé de 65 ans .Dans un de décès du 17 janvier 1865 de Marie Barbe DESTREE  célibataire 77 ans née à Outreau c'est inscrit fille de Louis Victor Destrée Marie Françoise WARNIER DU WICQ soeur Destrée Louis Pierre Victor juge de paix du canton de Samer.

 Marie Henriette Sophie Destrée est née le 12 septembre 1819 à Outreau et décédée le 6 avril 1886 à Boulogne-sur-Mer,62200,, à l'âge de 66 ans ; fille de Destrée Louis Pierre Victor Né le 18 janvier 1790 à Outreau et  Décédé le 10 avril 1872 à Outreau  et Henriette L’HOTELLIER née le 22 septembre 1795 - Isques, et décédée  le 6 août 1879 à Outreau. Marie Henriette Sophie Destrée se marie le 26 mai 1841, avec Henri Cesar Prosper SAUVAGE notaire  1812-1858. De leur union est né Louis Cesar Henry Emile SAUVAGE  né le 22 septembre 1842 -Décédé le 3 janvier 1917 à Boulogne-sur-Mer,62200,, à l'âge de 74 ans. Archeologue docteur en médecine

Autre source et informations de M. Contensou : "Mes propres recherches montrent que le château du Noirval a été la propriété de Henri-Emile Sauvage (1842-1917), fils du notaire César Sauvage (1812-1858), frère de Louise Eléonore Amélie Marie Sauvage (Madame Hibon) et conservateur du musée de Boulogne.

En 1921, son aînée, Madame Gustave Gras, née Gabrielle Elise Aline Sauvage et issue de son premier mariage, acquiert la propriété du Noirval, alors valorisée à 50 000 francs. Ayant occupé le Noirval pendant 3 mois en 1920, elle doit à la succession de son père un loyer de 150 francs.

Madame Delabie, de Boulogne était locataire du château.

Ma source est l'acte notarié de liquidation de la succession du Dr Sauvage, daté du 15/07/1921 chez Maître Pagniez à Boulogne.

En 1928 la commune d'Outreau est dotée du services des eaux. Deux ans plus tard un établissement commence à s'élever de terre... C'est les Bains douches d'Outreau qui seront inaugurées en 1932 le 18 Juin. Les enfants de l'école ont leur jour réservé dans la semaine et cela gratuitement... Les bains douches d'Outreau furent inaugurés le 18 juin 1932

Voir la page Colot Adrienne sage femme et infirmière et le dispensaire d'Outreau.

Gravure d'époque sculptée par Gil Franco à l'entrée du dispensaire d'Outreau

Article complet sur les bains douches et le dispensaire d'Outreau :,Colot Adrienne sage femme et infirmière

 Ancien ferme Mouchon à Outreau rue Jean Jaurès

Un des  chevaux de la ferme de Mr Mouchon  s 'appelait ( Cadet) et il  emmenait le corbillard de Mr Sauvage Léon (Grand oncle d'Alain Goeusse ) qui était entrepreneur  de pompes funèbres habitant rue des Masurettes ( Information confirmant ce que m'avait conté le regretté Louis MICKE).

Carte postale des éditions Fauchois : un papa avec un enfant dans ses bras photographié dans le cimetière : la légende

Information de Mr Alain GOEUSSE concernant la photo au cimetière d'un papa avec un enfant dans les bras . Un grand merci pour ses informations. "Mr Bernard je vous félicite pour le site  d'Outreau si cela peut vous servir  je vous signale que le Monsieur qui est photographié devant  l église St Wandrille  avec un bébé dans les bras       c est mon père  Robert Goeusse avec ma sœur Paule Goeusse  devant la tombe de son  père Paul Goeusse décédé en 1924 des suites du gaz moutarde (chlore ou  l’ypérite) utilisé  durant la  première guerre mondiale. Cette photo date de début 1945."

 Tableau de Monsieur Léon Curé en 1940 représentant La ferme de Battinghem ( ferme des Masurettes) à Outreau.

Le presbytère qui se trouve dans le cimetière d'Outreau fut construit entre le 18 et le 19ème siècle ; il fut acquis par la commune d'Outreau pour servir de presbytère ; puis ensuite d'école de musique.

La tonnellerie du marais en 1901: la famille Trenaux jusqu'en 1930

 Enterrement d'Emile Carpentier né le 15 septembre 1888 à l'ETOILE dans la Somme et décédé le 9 mai 1948.. Carte postale de la stèle d'Emile Carpentier qui se trouve dans le cimetière d'Outreau ; elle fut érigée par l'aide d'une souscription auprès de la population.                         Voir Emile CARPENTIER Maire d'OUTREAU DE 1943 à 1944 et de 1945 à 1948 

Le livre de Daniel Merlin Historique de la Fanfare Communale à l'Orchestre d'Harmonie. Outreau 1919-2011

De la Fanfare Communale à l'Orchestre d'Harmonie d’Outreau ; le Blason a été créé par Daniel MERLIN en 1990 avec l’arrivée des nouveaux costumes qu'ils ont portés jusqu’en 2012. Chaque musicien était doté de ce pin’s ; page 157 du livre de Daniel MERLIN.

La Fanfare Communale devant la mairie d'Outreau en 1930.

La Fanfare Communale en 1955... Lieu inconnu.

 Un Baptême photo devant l'église d'Outreau, photo prise à côté de l'anciene ferme Gest ;date inconnue

Le cimetière d'Outreau début des années 1900   

 Personnage devant l'Eglise

La rue Paul BERT appelé autrefois la rue Madame

Le pont du Tihen à LA SALLE, il était en pierre...                           

Rue de l'Enfer est devenue rue Jules Lonquety vers 1900 ... Jules Lonquety est décédé le 29 juin 1997 il était propriétaire de la maison de maitre sur la place d' Outreau plus connue sous le terme " le château Lonquety"  endommagé durant la seconde guerre mondiale il fut ensuite détruit pour la création du jardin public et ensuite la mairie d'Outreau...

Concernant le nom des rues appelées " rue de l'enfer" : les érudits prétendent que le nom d'Enfer fut souvent donné aux petites rues ou ruelles écartées isolées où les filous et les gens sans aveu trouvaient facilement refuge.

 Rue de l'Enfer est devenue rue Jules Lonquety vers 1900 ... Jules Lonquety est décédé le 29 juin 1997 il était propriétaire de la maison de maitre sur la place d' Outreau plus connue sous le terme " le château Lonquety"  endommagé durant la seconde guerre mondiale il fut ensuite détruit pour la création du jardin public et ensuite la mairie d'Outreau...

Concernant le nom des rues appelées " rue de l'enfer" : les érudits prétendent que le nom d'Enfer fut souvent donné aux petites rues ou ruelles écartées isolées où les filous et les gens sans aveu trouvaient facilement refuge.

  

  Le landeau des années 1950...et un aperçu des anciennes rues le troittoir semble être fait de pierres posées ça et la sur la terre ; on remarque aussi que  les fenêtres étaient trés basses...

   Photo de 1953  de la rue Lonquety appelée autrefois rue de l'Enfer

Commerce Craux-Golliot rue Jules LONQUETY en venant par le café le Bras d'Or.

Un mariage à Outreau en 1919.... sortie de la mairie....

 Article de 1927

Photo du Patronage les jeudis après midi, des enfants avec l'abbé Lemaire Vicaire

 

 Retour au site consacré à la ville d'Outreau 

 

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Source et informations de M. Contensou : "Mes propres recherches montrent que le château du Noirval a été la propriété de Henri-Emile Sauvage (1842-1917), fils du notaire César Sauvage (1812-1858), frère de Louise Eléonore Amélie Marie Sauvage (Madame Hibon) et conservateur du musée de Boulogne. En 1921, son aînée, Madame Gustave Gras, née Gabrielle Elise Aline Sauvage et issue de son premier mariage, acquiert la propriété du Noirval, alors valorisée à 50 000 francs. Ayant occupé le Noirval pendant 3 mois en 1920, elle doit à la succession de son père un loyer de 150 francs. Madame Delabie, de Boulogne était locataire du château.

Ma source est l'acte notarié de liquidation de la succession du Dr Sauvage, daté du 15/07/1921 chez Maître Pagniez à Boulogne.